Enrique Jardiel Poncela

Enrique Jardiel Poncela
Enrique Jardiel Poncela
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 50 ans)
MadridVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Institution libre d'enseignement
Instituto San Isidro (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Père
Enrique Jardiel Agustín (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Marcelina Poncela (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Genres artistiques
Distinction
Prix National de Théâtre (en) ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Œuvres principales
Amor se escribe sin hache (d), Eloísa está debajo de un almendro (d), Pero... ¿hubo alguna vez once mil vírgenes? (d), La tournée de Dios (d), We Thieves Are Honourable (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
signature d'Enrique Jardiel Poncela
Signature

Enrique Jardiel Poncela est un scénariste, acteur, écrivain et réalisateur espagnol né le à Madrid (Espagne), décédé le dans la même ville.

Son œuvre est basée sur le théâtre - qui est son domaine de prédilection - et plus précisément celui de l’ironie et de l’absurde.

Amor se escribe sin hache” (1929) constitue son premier roman et révèle l’intérêt de l’auteur pour l’absurde et la caricature des misères de la société de l’époque.  Entre les années 1930 et 1940, il deviendra scénariste pour Hollywood, en réalisant notamment des œuvres cinématographiques telles que: Es mi hombre (1927), Melodia prohibida (1933), Nada mas que una mujer (1934) ou encore Asugure a su mujer (1935)[1]; et sera l’auteur du premier film en vers, en 1934, intitulé Angelina ou l’honneur d’un brigadier[2]. D’autre part, il travaillera pour “La Cordoniz”, hebdomadaire satirique dirigé par Miguel Mihura. Toutefois, c’est à ses talents de dramaturge qu’il devra son succès ; talents mis en avant dans ses œuvres « Los ladrones somos gente honrada » et « Eloísa está debajo de un almendro ». C’est au sein de ses œuvres qu’il réunira les tendances expérimentales de l’époque et les caractéristiques de la comédie bourgeoise traditionnelle. Ainsi, il renouvellera la tradition théâtrale espagnole en s’imprégnant du mouvement de l’absurde[3].

  1. « Enrique Jardiel Poncela », sur Premiere.fr (consulté le ).
  2. « Enrique Jardiel Poncela, le rire intelligent », sur Festival du Cinéma Espagnol de Nantes, (consulté le ).
  3. « Enrique Jardiel Poncela. Théâtre .Biographie et œuvres sur Spain is Culture. », sur spainisculture.com (consulté le ).

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